Dimanche de pingouins - Musique en tête - Ecole de la vie

Dimanche de pingouins

C'est l'histoire d'un jeune garçon timide qui, à la piscine, voit une jeune fille et veut la courtiser. Il fait plusieurs tentatives timides d'approche avec son linge de bain pour finalement voir la belle partir avec un maître nageur. Pendant tout le manège il lit un livre sur les moeurs des pingouins qui servira de contrepoint et sera le texte du film.

Musique en tête

MUSIQUE EN TETE est l'approche d'une chanteuse fribourgeoise, Arlette Zola, et du monde qui l'entoure. Le manager, le directeur artistique, l'imprésario, l'orchestre, la secrétaire, dépendent d'elle, elle dépend d'eux et de ses "fans". Ils sont étroitement liés dans la bataille pour la conquête d'une place au soleil dans la jungle du spectacle. MUSIQUE EN TETE essaie de démythifier le métier de chanteuse. Les jeunes gens et jeunes filles qui, par identification à leur "idole", veulent tenter leur chance et "faire une carrière" dans la chanson, comprendront par ce film la difficulté d'être chanteuse et de le rester. Après une brève carrière, Arlette Zola a repris son métier initial: «sommelière».

L'école et la vie

Une chronique de la vie quotidienne d'un collège catholique de garçons. Les garçons internes ou externes y entrent à dix ans pour en sortir, avec un peu de chance et beaucoup de travail, à dix-neuf ou vingt ans avec une maturité en poche. Ceux-ci parlent de leur vie au collège, de l'amour, de l'école idéale. Le recteur et le préfet sont interviewés; ils parlent entre autres de la discipline, des punitions. On assiste à des leçons d'éducation sexuelle, de religion, d'allemand, de français ainsi qu'à la préparation d'une fête destinée aux parents. On est frappé de voir des élèves entrant à dix ans au collège, vivants, gais et curieux, en sortir, pour la plupart, à vingt ans, mornes, tristes et cassés. En contrepoint, des extraits du texte pamphlétaire d'Edmond Gilliard «L'école contre la vie» écrit en 1942 et réédité lors des évènements de 1968.